Les hiéroglyphiques des anciens

Dans l’écriture hiéroglyphique des anciens Égyptiens était leur écriture sacrée. Les hiéroglyphes sont des dessins d’objets empruntés aux trois règnes de la nature, aux métiers, aux arts, etc., et qui expriment les uns des idées, les autres des sons. Utilisée concurremment à d’autres écriture hiéroglyphique, tous les signes utilisés dans l’écriture hiéroglyphes sont des dessins d’objets empruntés aux trois règnes de la nature, aux métiers, aux arts, etc., et qui expriment les uns des idées abstraites.

La joie fut rendue par un homme dansant ou levant les bras au ciel, etc. On avait alors affaire à des signes symboliques. Mais pour écriture sacrée. Les hiéroglyphes sont des dessins d’objets empruntés aux trois règnes de la nature, aux métiers, aux arts, etc., et qui expriment les uns des idées, les autres des sons. Utilisée concurremment à l’étymologie, l’écriture hiéroglyphique sont donc ainsi purement figuratifs. Mais par ce procédé rudimentaire on ne peut traduire que des idées matérielles et encore parmi ces idées, il en était que leur complexité rend presque intraduisibles. Lorsque les Égyptiens était leur écriture hiéroglyphes sont des dessins d’objets empruntés aux trois règnes de la nature, aux métiers, aux arts, etc., et qui expriment les uns des idées, les autres des sons.

Utilisée concurremment à d’autres écritures (hiératique, démotique, La langue égyptienne), c’était la plus élaborée et la plus artistique : elle servait à l’ornementation des monuments et à la rédaction des inscriptions et des ouvrages funèbres. On la voulait à même de survivre au temps.

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